L’Espace Jeunes, le Centre Culturel Jean Carmet et le secrétariat du Centre Technique Municipal (CTM) seront fermés du 22/12 au 02/01. Le CCJC sera cependant bien ouvert pour la soirée DJ, concerts et spectacles du 31 « Rien à fêter »). Un accueil téléphonique pour le CTM sera maintenu aux horaires habituels. Le service Autorisation du droit des sols (urbanisme) sera fermé les 24, 26 et 31/12 et 02/01. Le service logement sera fermée les vendredis 26/12 et 02/01. L’accueil CCAS téléphonique et physique sera fermé du 22 au 26/12, ainsi que vendredi 02/01. Tous les services municipaux seront exceptionnellement fermés le 24 et 31 décembre après-midi ainsi que le 25 décembre et 1er janvier.
Enquête statistique INSEE sur la santé et le recours aux soins : des érimûrois seront sollicités au cours du second semestre 2025. Ils seront informé par courrier nominatif et le nom de l'enquêteur sera stipulé sur ce dernier. Il sera muni d'une carte officielle l'accréditant lors de sa venue.
Vérifié le 07/02/2022 – Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre)
Une clause de mobilité est une disposition qui prévoit que le salarié accepte la modification de son lieu de travail. Cette disposition doit être prévue dans le contrat de travail du salarié ou la convention collective de l’entreprise. Des dispositions particulières s’appliquent pour le salarié protégé.
Cas général
Salarié protégé
Une clause de mobilité est une disposition prévue dans le contrat de travail ou la convention collective.
La clause prévoit que le salarié accepte, à l’avance, que son lieu de travail peut être modifié.
Cette mutation s’impose alors au salarié.
Le code du travail ne précise pas les conditions de mise en place et d’application de la clause de mobilité. Toutefois, la jurisprudence récente considère la validité d’une clause de mobilité selon les dispositions suivantes.
Contenu
La clause de mobilité doit définir de façon précise la zone géographique d’application (par exemple, dans tous les établissements d’un département).
L’étendue de la zone géographique varie selon les fonctions exercées par le salarié.
En général, plus les responsabilités du salarié sont élevées, plus la zone de mobilité est étendue.
La clause de mobilité est applicable dans l’entreprise uniquement et non dans les autres sociétés du même groupe.
À savoir
l’employeur ne peut pas, après signature du contrat de travail, modifier sans l’accord du salarié l’étendue de la zone géographique.
Procédure
L’employeur décide de la mise en œuvre de la clause de mobilité.
La mutation du salarié doit répondre à un besoin objectif de l’entreprise.
L’application de la clause peut être justifiée, par exemple, pour répondre à une augmentation de la charge de travail d’un autre établissement inclus dans la zone géographique.
Le salarié ne peut pas refuser l’application de la clause de mobilité si elle est prévue dans le contrat de travail.
Toutefois le salarié peut refuser la clause de mobilité dans l’un des cas suivants :
La mutation modifie un élément essentiel du contrat (par exemple : baisse de la rémunération, passage d’un horaire de nuit à un horaire de jour ou d’un horaire de jour à un horaire de nuit)
Le salarié est prévenu dans un délai trop court (ce délai varie en fonction des circonstances)
La mutation demandée porte atteinte à la vie personnelle et familiale du salarié (par exemple, si la mutation entraîne des modifications de ses heures de travail incompatibles avec ses obligations familiales)
Si l’application de la clause de mobilité n’est pas prévue au contrat de travail initial, un avenant au contrat doit être signé entre l’employeur et le salarié.
Toute proposition de mutation géographique à un salarié protégé est une modification du contrat de travail.