L'accueil physique et téléphonique de l'Hôtel de Ville sont exceptionnellement indisponibles aujourd'hui.
Flash infos
L'accueil physique et téléphonique de l'Hôtel de Ville sont exceptionnellement indisponibles aujourd'hui.
Intervention Enedis : des coupures de courant pourront avoir lieu mardi 13 et mercredi 14 juin entre 8h30 et 16h30 aux lieux-dits Le Bois Bourreau, Le Plessis Mazeau et La Godillonnière.
Question-réponse
Vérifié le 11 mai 2021 – Direction de l’information légale et administrative (Première ministre)
Non. De manière générale, la vente à la sauvette, c’est à-dire le fait d’exposer dans les lieux publics des biens en vue de les vendre sans autorisation régulière, est interdite.
Il est interdit de vendre des produits, quels qu’ils soient, sans autorisation, sur le trottoir, les chaussées, les marchés, etc.
Dans ce cadre, la vente d’animaux à la sauvette (chiots, chatons, lapins, etc.) est interdite.
La vente à la sauvette est punie de 6 mois d’emprisonnement et de 3 750 € d’amende. Toutefois, si l’auteur de la vente paye une amende de 300 €dans les 45 jours suivant la constatation de l’infraction ou la date d’envoi de l’avis d’infraction, il échappe à ces poursuites.
L’amende forfaitaire est portée à 600 € si elle n’est pas payée dans les 45 jours.
À l’inverse, l’amende est réduite à 250 € si l’auteur de la vente à la sauvette la paie directement à l’agent de police au moment de la constatation de l’infraction. Il en est de même s’il paie l’amende dans les 15 jours suivant la constatation de l’infraction ou la date d’envoi de l’avis d’infraction.
La procédure de l’amende forfaitaire n’est pas applicable si l’auteur de la vente à la sauvette est mineur ou récidiviste.
L’animal peut être confisqué et confié à une association de protection animale.